La naissance de l'union économique et monétaire et du Euro a comporté des grandes nouveautés pour l'Europe, pour les Européens, mais aussi pour le monde, et pour la manière dans lequel la tentative arrive de coordonner les politique économiques au niveau international. En effet l'union économique et monétaire a une série de règles et d'aspects intérieurs à l'Europe - nous savons la discipline des bilans publics, le Traité de Maastricht, 3% de limite au déficit, le pacte de stabilité et de croissance, que c'est un accord supplémentaire entre les État pour exercer dans le concret cette discipline de Maastricht -. Celle-ci est ensuite l'ossature intérieure à l'Europe de l'union économique et monétaire à la défense de la stabilité du Euro. Mais de quand le Euro l'Europe est née il a aussi changé figure de sa manière de se présenter au monde, non seulement parce que son produit monétaire, le Euro est utilisé sauf de plus en plus l'Europe. Je me trouvais il y a quelque jour à Moscou, où ils les utilisent évidemment roubles pour faire acquisitions, mais il y a aussi acceptation de dollars et de Euro. La Banque centrale chinoise place une partie croissante de ses réserves monétaires, qu'ils sont en train d'augmenter vivement, donne la dimension gigantesque de ses exportations en Euro. Mais en il y a le fait qui maintenant l'Europe se présente de manière plus unitaire aux tables où la coordination de la politique économique au niveau international arrive. En particulier, dans le champ des discussions monétaires, pendant qu'une fois se présentait une Europe "babele monétaire", avec la Banque centrale allemande, cette française, cette Italienne, cette Anglaise, aujourd'hui, pas pour toute l'union européenne, mais pour une grande partie, le président de la Banque Centrale Européenne se présente. Il se parle d'un "G3", du point de vue monétaire, d'un "groupe" de 3 heures, avec le Federal Reserve Bank des États-Unis, la Banque Centrale Européenne et la Banque du Japon. Toujours d'ils pèseront plus aussi, par exemple, les autorités monétaires chinoises. Ceci est un des aspects dans lequel, historiquement, quand l'union européenne fait un pas en avant vers l'unité, comme maintenant il a fait dans le champ monétaire, il réussit à être plus présent aussi, plus affirmative, plus respectée, plus écoutée et plus incisive, aussi dans l'intérêt de l'Europe, sur l'étage international. Il y a seulement trois champs pour maintenant en qui l'union européenne décide de manière unitaire et il parle avec une voix seule au niveau d'interlocuteurs sauf l'union européenne. Ces trois champs sont: deux classiques, depuis le Traité de Rome de 1957, c'est-à-dire la politique du commerce étranger, c'est-à-dire les grands accords commerciaux, dans par exemple l'organisation Mondiale du Commerce; l'autre est la politique de la concurrence, ou "Antitrust", gérée par la Commission européenne, pas des uniques État membres; le troisième né seulement depuis quelque an, c'est le champ de la monnaie, donc de la Banque Centrale Européenne. Nous savons qu'il avait il y a un an été approuvé par les Gouvernements un nouveau Traité constitutionnel, que puis, pour maintenant il n'est pas entré en vigueur, parce que la France et la Hollande ont repoussé la ratification: ce Traité constitutionnel aurait étendu en quelque mesure la nouveauté de l'Europe qui parle avec une voix unique aussi au champ crucial de la politique étrangère. Manquée entrée L'en vigueur de la constitution il retarde le moment malheureusement dans lequel, aussi dans ce champ, l'union européenne pourra parler, comme en ces plusieurs économiques, avec une voix seule.
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