Entre les grands sujets qu'ils caractérisent l'histoire et la réalité de l'Union europa ou du procès d'intégration européenne, certainement un du plus importants, qu'il mérite d'être exploré, c'est le sujet d'une politique étrangère et de sûreté commune pour les institutions. Il y a une question premier de cochons: quand la Communauté européenne on doue d'une politique étrangère? La réponse est simple: tard. Pour toutes les premières décennies de l'intégration européenne, une politique commune étrangère n'existe pas pratiquement. Après la faillite du CED. en 1954, après c'est-à-dire l'abandon des grandes aspirations qu'ils devançaient les temps, mais ils se heurtaient avec une réalité évidemment il ne mûrit pas encore, il s'instaure un premier élément pâle de concertation de politique étrangère, aux débuts des ans '70, après le rapport Davignon et la coopération politique soi-disant, que puis elle sera sanctionnée par l'apte Seul Européen en 1985. Mais nous sommes sauf toujours encore une vraie sphère de pouvoir pour le sujet institutionnel européen. Il faut attendre le grand virage de 1989-1990. Un virage qu'il a changé radicalement le cours du monde et le cours de l'Europe, un virage pacifiquement arrivé, autre grand prodige de l'histoire, dans un certain sens l'irruption de la discontinuité dans le procès d'intégration européenne. La Communauté Économique Européenne se mesure pour la première fois avec des grands problèmes qu'ils sont des problèmes de politique étrangère certainement. Je me réfère au problème de l'unification allemande, je me réfère au problème du rapport avec les nouvelles démocraties qu'il vont constituant dans la partie centre-orientale de l'Europe. Le mur de Berlin tombe le 9 de novembre de 1989, tout de suite ils commencent entretiens après pour examiner la nouvelle situation, il se profilait déjà une conférence intergouvernementale pour un nouveau Traité mais le relatif cependant à l'union Économique et Monétaire, eh bien le 18 avril de 1990, donc à peu mois de la chute du mur, Mittérand et Kohl ils écrivent une lettre à la signature jointe au Président européen en charge, le Premier Ministre irlandais dans lequel demandent qu'ils les ouvrent deux conférences intergouvernementales. Vous avant, celle-là pour l'union Économique et Monétaire, déjà prévue, la seconde, du tout inédit, pour les aspects politiques de l'intégration avec une référence spécifique à l'instauration d'une politique étrangère de sûreté commune. À Rome à la fin de 1990 ils s'ouvrent les deux conférences intergouvernementales, arrivez-les au Traité de Maastricht, griffé dans le février de 1992, et entré en vigueur le novembre premier de 1993. Le Traité de Maastricht est le traité qui sanctionne la naissance des ce PESC: Politique Étrangère de Sûreté Commun. Est-ce que nous voulons voir la formule? La formule adoptée par Maastricht est une formule assez ingénieuse, aussi pour dépasser les difficultés qui alors étaient très forts. C'est la formule d'une union européenne basée sur 3 piliers et surmonté, les piliers, d'un fronton unique, c'est-à-dire d'institutions communes. Le pilier premier est ce de la Communauté Économique Européenne, je sois aussi, nous disons, revu et ultérieurement élargi. C'est le pilier qui puis sera remis au Traité sur la Communauté européenne, que c'est l'évolution du traité CEE de Rome de 1957. Il y a puis le Traité sur l'union européenne avec les trois piliers. La seconde de ces piliers, il s'appelle exactement: politique étrangère et sûreté commune; pendant que le troisième concerne la coopération en matière de justice et d'affaires intérieurs et il aura, à son tour ses évolutions suivantes. Mais nous regardons rapidissimamente les caractéristiques de la politique étrangère de sûreté commune. Entre temps il faut dire que ce sera le Traité d'Amsterdam, qu'il entrera en vigueur en '99, à améliorer encore la formulation timide, de quelque manière embarrassée, du Traité de Maastricht de 1993. Entre temps il y a
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