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Le sujet des rapports entre Union européenne et États-Unis de l'Amérique est un des sujets importants de la présence internationale de l'union européenne sur la scène mondiale. Il y a une longue premier phase (40 anns) de ces rapports, la phase de la guerre froide, la phase dans lequel l'union européenne n'a pas sa politique étrangère. Il y a deux éléments fondamental: le premier, très important aussi sur l'étage politique-psychologique, les États-Unis de l'Amérique ont toujours été partisans forts de l'intégration communautaire, fin du début des premiers ans '50, fin à arriver jusqu'à les nos jours. Le second problème, que se profile depuis lors, il est qu'avec ce soutien ils existent cependant des raisons physiologiques de désapprobation. Les États-Unis sont une grande puissance économique mondiale, la communauté européenne se développe comme grand marché unique européen, il est assez concevable que contrastes puissent se lever d'une partie et de l'autre. Je même fus témoin à peine venu à Bruxelles, en le 1989 comme Vice-président de la Commission européenne. Mais tout change, évidemment, avec le grand virage de la situation politique mondiale et de la situation politique européenne: 1989-1990. Chute du mur de Berlin, unification allemande et, en 1991, vraiment la fin de l'empire soviétique, de la même Union des Républiques Socialiste Soviétiques. Et' clair que ces faits impliquent la nécessité d'une réélaboration très plusieurs partagée et engagée des rapports entre États-Unis et Union européenne. Je considère une "manifesto" le discours qui James Baker III, Secrétaire d'État dans l'administration de George Bush Seniors fit à Berlin dans le mois de décembre de 1989. Il parlait d'une nouvelle Europe et d'un nouvel atlantism comme des piliers de l'architecture d'un nouvel ordre international. Je voudrais rappeler que de ce discours naît la "Déclaration transatlantique" qui est un texte fondamental de 1990. D'une partie les États-Unis, de l'autre l'union européenne décide en substance de se consacrer un calendrier extrêmement précis et important de relations bilatérales. Tout à fait, les deux rencontres annuelles avec les meilleurs sommets des deux parties, an pour an. Mais il y aussi toute une série d'actions convergentes dans une quantité de champs. Dans ce tableau ils naissent évidemment des nouvelles responsabilités pour l'union européenne, il naît une politique étrangère et de sûreté commune, une politique de défense commune, ils s'intensifient les rapports avec NATO, il y a interventions communes des deux parties, dans les Balkans occidentaux, nous pensons à la Bosnie Herzégovine et puis nous pensons au Kosovo. Mais puis l'histoire des rapports bilatéraux connaît une crise. Et la crise de 2003, à l'occasion de l'intervention américaine à l'Iraq. D'une partie il y a les pays favorables, participes de cette opération, je parle du Royaume-Uni, je parle de l'Italie, je parle de l'Espagne, je parle des pays candidat, de l'autre côté, à partir dela France et l'Allemagne, il sont les pays contraires. Je voudrais rappeler cependant que malgré cette crise grave, le tableau ne se casse pas, il reste, par exemple encore arrêté la conscience du caractère indispensable de la NATO comme seul schéma de sûreté collective pour États-Unis de l'Amérique et pour Union européenne. Nous sommes arrivés au 2005, elles sont grandies les difficultés à l'Iraq, qu'il n'est pas aisément certainement un problème et rapidement résoluble, elles sont aussi venues sauf quelques-unes préjudiciels négatifs au niveau européen c'est ce un moment de virage probablement. La reprise pleine d'une solidarité partagée entre États-Unis de l'Amérique et Union européenne est condition pour la croissance de la même Union européenne, mais il est condition surtout pour la sûreté et la paix dans le monde.
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