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La politique de la concurrence
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L'union européenne, du point de vue économique, il a développé l'union économique et monétaire: la partie monétaire est celle-là incarnée par le Euro, la partie économique est celle-là incarnée par le grand Marché Unique Européen. Mais le Marché Unique Européen, que c'est la vie concrète du point de vue économique de maintenant 25 État membres, il n'aurait pas beaucoup de sens si ce n'était pas un marché unique en conditions de concurrence. En effet le marché unique a été créé parce que l'efficacité totale de la production européenne à l'avantage des consommateurs augmente en particulier, si choix d'échange peuvent être faits librement et de production sur ce grand marché, qu'il concerne 450 millions d'Européens maintenant. Mais parce que cela arrive, donc parce que le grand marché soit à l'altesse des promesses et je contribue au bien-être des Européens, il faut qu'il y ait conditions de concurrence. Pour cette raison, depuis quand l'union européenne, la Communauté européenne est ou mieux née avec le Traité de Rome de 1957, une politique de la concurrence a été prévue. Il a été établi dans le Traité qui dussent les deux se conformer aux débuts de la concurrence. Cela signifie pour les entreprises en particulier la défense d'eux stipuler entre tu accordes évident ou secrets comme les panneaux, c'est-à-dire accords de fixation des prix entre entreprises qu'ils nuisent à la concurrence et ils nuisent aux consommateurs, en tenant en étant prix plus hauts de ceux-là qui déterminerait. Et été aussi fait défense aux entreprises, surtout quand ils sont grands ou grandissimes, d'abuser de leur position dominante éventuelle; et il a successivement été établi aussi que quand deux ou plus entreprises veulent se concentrer, se fondre, ils doivent obtenir l'autorisation préventive de la part de l'union européenne. Mais aussi pour les État mesures ont été prévues et c'est-à-dire une discipline des aides, des subsides de la part des État aux entreprises, autrement avec chaque État qu'il soutient les entreprises financièrement il est clair que la concurrence dans le grand marché unique serait déformée par ce facteur artificiel. L'autorité qui a le devoir de surveiller parce que ces règles soient respectées c'est la Commission européenne, qu'il a à l'intérieur spécifiquement un membre destiné à gérer la politique de la concurrence. Celle-ci est la position qui, dans les cinq ans de la Commission Brave il est touché à moi de couvrir: l'exercice de ces pouvoirs, qu'ils sont très forts, c'est un des champs dans lequel la Commission n'a pas seulement l'université de proposer des directives qui puis devront délibérer, mais aussi le pouvoir d'intervention directe sur les entreprises, par exemple en prescrivant aussi amendes très considérables, si ils font des panneaux ou ils abusent de leur position dominante. L'an dernier la Commission a imposé une amende de 497 millions de Euro au Microsoft, en croyant qu'il eût abusé de la propre position dominante. Aussi vers les État, je rappelle un des lots les plus âpres de dialogue par exemple, et aussi de collision, puis les résolus de manière consensuelle, quand la Commission européenne a imposé à l'Allemagne d'arrêter de donner garanties d'État aux banques publiques allemandes. Cette ère un élément puissant de distorsion du marché qui existait depuis un siècle et que l'action de la Commission européenne a éliminé. Ensuite celle-ci est une politique où la Commission a le dernier mot, recours saufs à l'européenne Courte de justice, et que c'est un important composant contenu en la "ET" de l'UEM, c'est-à-dire dans la partie économique de l'Union Économique et Monétaire.
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